2.6 ARGUMENTS SCIENTIFIQUES – POURQUOI, JUSQU’A PRESENT,
ON N’A PAS PU APPRENDRE D’OÙ DECOLLENT LA PLUS PART DES OVNIS
(Résumé)
La configuration réelle de la Terre
ne permet pas cela, parce qu’autour des deux grands orifices d’entrée des
pôles, les rayons de lumière se courbent sous l’influence du champ magnétique
terrestre très puissant de la zone des orifices.
Ainsi d’une petite altitude (de
l’avion) ou du sol, on ne peut saisir à l’œil nu le cintrage de la ligne de la
zone des orifices à cause des distances trop courtes, les yeux percevant sur
ces petites distances une vue approximative en ligne droite.
Par contre, un observateur de
l’espace cosmique ne peut détecter (sans un appareillage spécial de correction)
quelle est la configuration réelle du sol aux pôles, justement à cause du
courbement des rayons de lumière, des rayons qui à cause de la zone circulaire
magnétisée, prennent un aspect diffus et confus (des interactions magnétiques
diamétrales opposées dans la zone des orifices d’entrée) les images reçues et
perçues par les yeux de l’observateur étant fausses et confuses.
En même temps tout signal de radio
ou TV ne peut entrer ou sortir par les orifices respectifs étant effacé par
l’intensité puissante du champ magnétique terrestre de la zone des orifices
d’entrée exactement comment efface une tête de magnétophone
une bande magnétique enregistrée.
A cause de ces raisons énoncées en bref, on n’a
pas pu apprendre et on n’apprendra pas (sans un consentement-approbation) plusieurs
détails sur la civilisation parallèle qui d’après mon avis, - se comporte
comme des vrais Anges Protecteurs et tutélaires – dans notre
évolution.
(D’autres
détails et particularités sont cités dans le VIème chapitre du
livre).
2.7 ARGUMENTS SCIENTIFIQUES – POURQUOI LES AVIONS ET
LES BATEAUX DISPARAISSENT DANS LE TRIANGLE DES BERMUDES ET AU JAPON.
(Résumé)
Il y a très longtemps (environ 10500 ans auparavant) un Astéroïde a heurté la
Terre dans la zone du triangle des Bermudes (les coordonnées exactes sont
mentionnées dans le livre) qui a pénétré l’écorce terrestre, la matière
intermédiaire et la croûte de la surface antérieure, une partie a continue son
chemin heurtant diamétralement opposé de l’intérieur vers l’extérieur et la
zone de la Mer du Diable où il s’est arrêté.
L’impacte a déterminé une
oscillation de toute la matière distribuée toroïdale (à voir la fig. 2(a),(b)
şi (c)la partie hachurée) en provoquant des grands tremblements qui ont
duré environ deux semaines, temps pendant lequel la matière s’est arasée et stabilisée
de nouveau en s’équilibrant sous l’influence des deux grandes forces (les
forces centrifuges et la force d’attraction universelle-zonale) le
rééquilibrage provoquant des grandes modifications de forme du relief tant sur
la surface extérieure que sur la surface intérieure de la Terre (des montagnes
se sont effondrées, des océans sont apparus à la place des montagnes dans ces
deux semaines).
Dans
la zone de l’impacte se trouve maintenant aussi un orifice de communication
entre les deux surfaces où existent des océans.
Lorsque
„chez nous” la pression atmosphérique est plus grande et „chez eux” aléatoire
est plus petite, alors par moment, „chez nous” se forment des vrais entonnoirs
d’environ 10 kilomètres en diamètre et aux différences maximales de pressions
atmosphériques apparaissent temporairement des orifices de communication entre
les deux atmosphères, pour un temps un nouveau pôle magnétique d’une très
grande intensité apparaît par la rupture des lignes de force du champ
magnétique terrestre entre les deux pôles, les rayons de lumière se courbent
dans la zone respective, les appareils de navigation fonctionnent chaotique et
erroné, les pilotes aperçoivent l’environnement totalement différent de réalité
sans aucune possibilité d’orientation réelle.
Quand
„chez nous” la pression atmosphérique est plus petite et „chez eux” la pression
atmosphérique aléatoire est plus grande, alors pour un moment „chez nous” l’eau
de l’océan dans la zone respective s’élève aux environs de 700 mètres en
hauteur (plusieurs pilotes en passant latéralement ont observé et consigné ce
genre de phénomène) et „chez eux” apparaissent des entonnoirs dans l’océan
respectif, l’occasion avec laquelle sont absorbés des animaux plus bizarres
considérés comme étant disparus, des animaux qui échouent sur les rives à cause
de la manque d’orientation et de la possibilité d’adaptation aux nouvelles
conditions de nos océans.
(D’autres détails et particularités sont cités plus amplement dans le VIème
chapitre du livre).