Premiere partie:
Propulsions similaires aux OVNI (Les performances des voitures du Temps)
Deuxieme partie:
Solution des grands mystères |
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C o n t e n u2.1 Pourquoi la Terre est-elle vide a l'interior?2.2 Pourquoi? - La surface interieur de la Terre est-elle illumine toujours par le soleil. 2.3 Arguments Scientifiques - Pourquoi? – L'axe de rotation de la Terre est-il incline et pourquoi, les jour alternent avec les nuits ainsi que les saison sur la surface interieure de la Terre, se succedent de maniere cyclique et a des intervales donnes. 2.4 Arguments scientifiques - Pourqui? - Les pôles magnétiques ne se trouvent pas sur l'axe de rotation de la Terre. 2.4.1 Pourquoi les corps sur la surface intérieur de la Terre ont le meme poids que les corps se trouvant sur la surface extérieure de la Terre.2.5 Arguments scientifiques - Pourqui a ete necessaire la construction de pyramides et longues tunnels souterains de centaines de milles de kilometres longueur 2.5.1 Arguments scientifiques - Le reseau souterain de tunnels du Perou et Ecuador2.6 Arguments scientifiques - Pourquoi, jusqu'a present, on n'a pas pu apprendre d'ou decollent la plus part des OVNIS 2.7 Arguments scientifiques - Pourquoi les avions et les bateaux disparaissent dans le triangle des Bermudes et au Japon. 2.8 Arguments scientifiques - L'Atlantide engloutie? 2.9 Arguments scientifiques - Pourquoi sur la colline Magura Bacaului (Roumanie) - Les voitures montent seules |
2.3 ARGUMENTS SCIENTIFIQUES - POURQUOI? – L’AXE DE ROTATION DE LA TERRE EST-IL INCLINE ET POURQUOI, LES JOUR ALTERNENT AVEC LES NUITS AINSI QUE LES SAISON SUR LA SURFACE INTERIEURE DE LA TERRE, SE SUCCEDENT DE MANIERE CYCLIQUE ET A DES INTERVALES DONNES.A cause de l’orientation de la lumière provenu du Soleil, à cause de la rotation de la Terre au tour de son l’axe imaginaire de rotation sur l’axe de symétrie de la Terre pendant 24 heures, à cause de l’inclination de l’axe de rotation avec une valeur particulièrement bien déterminé et la surface intérieure vue par un observateur à sa surface intérieure perçoit de même les succession des jours avec les nuits,- perçoit comme nous les ciel et les étoiles en saisons d’été et d’hivers, - la succession des saisons étant semblables à celles de la surface extérieure de la Terre à la différence que dans la zone des pôles où naturellement, cycliquement et graduellement de six en six mois (l’hivers et l’été), la courbure des rayons de soleil (seulement ceux en infrarouge) fait tomber perpendiculairement ces rayons sur la surface intérieure des orifices d’entrée favorisant un climat plus chaud l’été dans la zone du pôle sud et l’hivers en zone du pôle nord. Ainsi, à cause des grandes différences entre le froids et le chaud entre la zone intérieure et la zone extérieure des orifices d’entrée, il apparaît également une différence de potentiel énergétique, respectivement électrique et de manière logique une électricité, les circuits électriques se fermant tant entre les pôles annulaires, qu’entre les deux pôles et les zones équatoriales plus chaudes de la Terre. Entre les surfaces intérieures et extérieures des zones annulaires des deux pôles, des charges électriques et des déchargés successives dans les atmosphères extérieures et intérieures, favorise également le maintient naturel des valeurs de magnétisation naturelle des deux pôles annulaires magnétiques le tout s’interpénétrant et se conditionnant réciproquement, - grâce à l’énergie reçu en permanence du Soleil (-voir l’annexe 1, fig. No. 2(a), 2(b), 2(c) et fig.3, vue en perspective) . Ceci est autrement dit, - l’un des principaux raisons qui déterminent les oiseaux migrateurs et les animaux de la zone du pôle nord vers par exemple, - de se diriger toujours vers le nord en temps d’hivers. Ce comportement se manifeste parce que les radiations en infrarouge (par la décomposition partielle de la lumière) réussissent à tomber en quelque sorte perpendiculairement sur la zone d’entrée, (les autres rayons de lumière se conditionnant le chemin tangentiel sur le pôle nord) à cause à la courbure de la direction de celle-ci sous l’influence du champs magnétique de la Terre de la zone du pôle nord à la quelle je me suis référé, les radiations en infrarouge, chauffant plus fortement la zone intérieure annulaire. Les oiseaux et les animaux migrateurs continuant leur chemin, quand ils arrivent sur la surface intérieure de la Terre, sentent déjà la lumière qui pénètre par le grand orifice d’entrée du pôle sud, respectivement là où apparaît également l’alternance entre la nuit et le jour pendant la rotation de la Terre au tour de son axe (voir fig. nr. 2(c) de l’annexe 1) A remarquer particulièrement grande eu en vue au dimensionnement du profil des deux orifices d’entrée (qui s’est formé comme dimension à cause de la quantité de matière et de la vitesse de rotation) mais surtout la valeur de l’angle d’inclinaison de l’axe de rotation de la Terre qui fait de six en six mois la pénétration de la lumière vers la surface intérieure de la Terre alterne, soit pénétrant par un pôle soit par l’autre pôle, en fonction de la position dans laquelle se trouve La Terre qui gravite sur son orbite elliptique au tour du Soleil, (voir fig. nr.3 de l’annexe 1) ce qui, tel que je vais le montrer par la suite a des implications extraordinairement grandes. Par exemple: au cas d’un champs magnétique beaucoup plus puissant des rayons de Soleil pourrait pénétrer à l’intérieur simultanément sur les deux pôles de la Terre ce qui conduirait implicitement qu’un observateur se trouvant sur la surface intérieure de la Terre observe concomitamment et paradoxalement deux SORI sur le ciel ce qui ne se pace pas en réalité Et cela ne se passe pas, car le système climatique général tant par la surface extérieure que par la surface intérieure aurait pu être tout autre, il n’apparaîtrait pas en permanence aucune différence de potentiel électrique (phénomène du à la différence entre le chaud et le froids tel que j’ai présenté un peu plus haut) et en général tout l’équilibre inclusivement celui climatique entre la surface extérieure et la surface intérieure serait très instable et ni l’équilibre climatique par exemple sur la surface extérieure de la Terre ne fonctionnerait pas tel qu’il est connu de nous. Concernant cet aspect on se poserait une question simple à savoir; bien, bien qu’en est-il de la quantité d’énergie reçue et retenue continuellement par le Soleil sur la surface intérieure de la Terre, des quantités qui sont directement proportionnelles à la manière dont la surface est irradiée? La réponse est si simple; car la surface extérieure de la Terre perd une quantité plus grande de chaleur alors que sa surface intérieure perd une quantité de chaleur directement proportionnelle plus petite (donc une accumulation plus grande de chaleur), le réglage de l’équilibre énergétique se fait en permanence par la circulation de l’eau et de l’air entre les deux surfaces ayant en permanence des valeurs approximativement constante, toute perturbation dans ces circuits énergétiques et des mouvements permanents des eaux et de l’air se soldant chaque fois par des phénomènes spéciaux, phénomènes qui seront traités par la suite dans une certaine mesure dans ce chapitre. En ce qui concerne la succession des saisons, celles-là sont les mêmes également sur la surface intérieure de la Terre à cause des tracés elliptique que fait la Terre pendant sa rotation au tour du Soleil que de son axe de rotation par rapport au plan elliptique de l’orbite elliptique sur lequel gravite celle-ci, avec la particularité suivante très importante; Une situation plus particulière apparaît pendant les saisons de printemps et d’automne quand tel qu’on peut constaté également dans l’annexe 1, fig. nr.2(b) et fig. nr. 3, grâce à la position qu’occupe la Terre sur son orbite elliptique au tour du Soleil, les rayons de Soleil arrivent de la même direction et sous le même angle, par les deux orifices des deux pôles de la Terre. (Seulement pendant l’équinoxe de printemps et d’automne). Ainsi, jusqu’à l’équinoxe de printemps les rayons de Soleil continuent encore à pénétrer sur le pôle sud, mai le Soleil décent à l’horizon de la surface intérieure de la Terre de plus en plus, le jour de l’équinoxe (le 21 mars) on ne peut plus voir du tout et immédiatement après de printemps le Soleil fera son apparition par l’orifice d’entrée du pôle nord, mais la lumière de plus en plus la surface intérieure, le maximum étant atteint pendant le solstice d’été. De même, l’automne les rayons de Soleil descendent à l’horizon de plus en plus, jusqu’au 23 septembre (l’équinoxe d’automne) quand ils ne vont plus se distinguer, après quoi Le Soleil fera son apparition et va illuminer la surface intérieure de la Terre de plus en plus, mais les rayons de soleil pénètrent par l’orifice d’entrée du pôle sud, l’angle de d’inclinaison croissant progressivement, en même temps que le passage des jours, jusqu’au solstice d’hiver quand l’illumination atteint sa valeur maximale . Dans cette situation (le 21 mars et 23 septembre), le champs magnétique terrestre ne réussi plus à se courber suffisamment les rayons de lumière, de sorte qu’un observateur se trouvant sur la surface intérieure de la Terre pendant le jour, ne voit plus le Soleil sur le Ciel. Parce que pendant les saison d’automne et de printemps la distance de la Terre au Soleil a la valeur la plus petite, illumination qui se fait cycliquement et alternativement soit sur le pôle nord soit sur le pôle sud, quoi que quelque peu diffuse, est suffisamment puissante car ainsi diffuse, - il chauffe les deux zones d’entrée toujours cycliquement et alternativement avec des radiations en infrarouge et comme conséquence pendant les saison de printemps et d’automne, sur la surface intérieure de la Terre, c’est possible qu’il y est un climat particulièrement plaisant et favorable à la flore et à la faune. Autrement dit, jusqu’à l’équinoxe de printemps les rayons de soleil qui pénètrent sur le pôle sud commencent à tomber au jour le jour en dessous d’un angle plus petit, et les radiations en infrarouge du pôle nord commencent à croître en intensité jour après jour, le maxima étant atteint au 21 mars après quoi le Soleil commence aussi à faire son apparition sur la surface intérieure de la Terre sur le pôle nord. Similairement le pôle sud jusqu’en date du 23 septembre les rayons de soleil qui pénètrent sur le pôle nord commencent à tomber sous un angle de plus en plus réduit et les radiations en infrarouge du pôle sud commencent à monter en intensité jour après jour, le maxima étant atteint le 23 septembre après quoi le Soleil commence à faire son apparition illuminant la surface intérieure de la Terre sur le pôle sud. Cette situation particulière (seulement à partir du 21 mars et le 23 septembre) peut être comparé en quelque sorte avec la lumière qui apparaît comme valeur maximale que nous observons avant l’apparition du Soleil sur le ciel le matin, mais multiplié par deux comme intensité lumineuse, car l’observateur se trouvant sur la surface intérieure perçoit la lumière pendant le jour, comme s’elle apparaîtrait tant à l’Est d’une part mais de manière concomitante qu’au couché du Soleil en direction quelque peu diamétralement opposée, pendant toute la durée du jour de l’équinoxe d’automne et de printemps, - sans que le Soleil ne puisse encore apparaître sur le ciel, - du matin au soir-. Ou se serait comparativement, comme quand nous nous trouverions dans une chambre à deux fenêtres diamétralement opposées et ouvertes, et du dehors de la chambre pénétrerait de la lumière par les deux fenêtres ainsi que la chaleur du milieu ambiant. Il va de soi qu’un observateur se trouvant sur la surface intérieure de la Terre, va voir par contre également la voûte céleste avec les Etoiles mais les trajectoires des rayons de lumière étant courbées par l’influence des deux pôles magnétiques de la Terre, - et la position des corps célestes sera quelque peu autre que celle réelle que nous observons -. Pour les raisons invoquées en bref ci haut, presque n’importe qui peut facilement remarquer, que ni même pas la gravitation de la Terre dans un plan elliptique et dans les coordonnées particulièrement favorables de sorte à permettre des conditions climatiques favorables à la vie également pour la surface intérieure de la Terre, - n’est guerre un hasard -. Mettre ces états de faits seulement sous le fait du hasard et du l’événement ou des heureuses coïncidences, au sens de la possibilité d’existence d’une flore et d’une faune sur les deux surfaces de la Terre favorables aux vies, à moi personnellement il me parait un peu trop et à la limite de l’impossible et là encore ça me rappelle le premier chapitre „la Création” de la Bibles tel que je mentionnerai sur ces choses dans les pages suivantes (voir le point 2.7 ). On peut facilement constater combien complexes et souvent presque imprévisibles sont les évolutions climatiques et la prognose du temps quand jusque là, on a pris en compte juste les circulations des courants d’air respectifs et d’eau sur la surface extérieure, respectivement celle connue de la Terre sans tenir compte des phénomènes météorologiques complexes causés par les masse d’air et par l’eau, respectivement et entre les atmosphères qui continuent et qui s’unissent entre eux par les grands orifices (près de 2000 kilomètres en diamètre) des deux pôles de la Terre. A remarquer la fascination donnée par la lumière dans la zone des pôles de la Terre pendant certaines périodes, c’est à cause du fait qu’alors, pendant les périodes quand les rayons du Soleil, à cause de la position de l’axe de la Terre, ne pénètrent plus en totalité par les grandes ouvertures des pôles et tombent sur la partie opposée des orifices d’entrée comme radiations en infrarouge, alors, à cause des réflexes de la lumière des zones d’entrée, apparaissent des phénomènes (l’aurore) qui fascine par leur beautés, car les levés des glaces reflètent très bien la lumière partiellement décomposée par l’influence du champs magnétique terrestre, sur des distances plus grandes, des reflets aux décompositions de lumière (l’effet arc en ciel). |