2.4.8 ARGUMENTS SCIENTIFIQUES PAR- LA CARTE DE PIRI REIS-

      La carte a été découverte en 1929 d. Chr., par l’historien turc Halil Eren Eldem, dans les manuscrit de la  bibliothèque du musé caché dans l’imposant palais Topkapî d’Istanbul et se présente sous forme d’un fragment de planisphère, dessiné sur  un parchemin fait en peau de gazelle, en 9 couleurs et avec des parties dorées, contenant des signes utilisés dans les portulanele italienne et portugais, divers dessins représentant des navires, des animaux et figures fabuleuses, ainsi que des notes contenant des informations concernant la flore şi la faune des différentes régions, leur position géographique et même l’histoire des découvertes. Une note faite par l’auteur même, Piri Reis ibn Hadj Mehmet, mentionne que la carte a été réalisée pendant la période 9 mars - 7 avril 1513, à Gelibolu (Galipoli).

      Ludvik Soucek montre dans son livre, „le soupçon d’une ombre” (Edition  Albatros Bucarest – 1984), que la surprise s’est produite alors que certains géographes ont observé de grandes similitudes entre le relief du continent et l’île de la Mer des Caraïbes, dessiné d’une manière déformée sur la carte de Piri Reis et les cartes élaborées à la demande du Ministère de la Défense des USA, pendant la deuxième guerre mondiale, dans des buts stratégiques, de préparation des opérations du Nord d’Afrique.

      Era parlait de la similitudes des soit disant projections  équidistantes. En 1953, le fax de la carte de Piri Reis a été étudié par le  cartographe américain, le capitaine de marine Arlington H.Mallery, qui a observé l’existence d’une projection d’un type spécial; (la projection équidistante), qui montre que la  méthode d’élaboration de la carte, donc sa base mathématique, ne plaide ni pour l’ idée de la Terre plan, qui justement à cette époque commençait à perdre du terrain face à la nouvelle hypothèse de la Terre en forme sphérique, et ni même pas pour la tentative de projection dans le plan de la surface du globe terrestre, réalisé à peine au 14eme siècle par le chercheur et cartographe hollandais  Gerhard Mercator.

      D’autre chercheurs ont été effectués par le cartographe Walters, qui a découvert la modalité de projection utilisée.

      En 1955, le comité d’organisation de l’Année Géographique International a confié la carte réalisé par Piri Reis, le prêtre jésuite Daniet Linehan, le directeur de l’Observateur de Weston et le chef de service cartographique de la Marine américaine.

      Après plusieurs hésitations, il est apparut comme conséquence de la combinaison incorrecte des cartes originales, cela a confirmé l’exactitude avec laquelle ont été tracés les contours de l’Amérique  du Nord, l’emplacement des lacs et des montagnes du Canada, y compris le point le plus nordique du continent, la position des îles de  l’archipel Falkland (connus à peine à la fin du 16eme siècle) et le fait le plus intéressant – le contour  de l’Antarctide mais pas comme il est tracé présentement à l’aide des photographies prises de l’avion, plutôt la configuration de l’Antarctide continentale, sans sa calotte de glace.

      L’authenticité de la carte de Piri Reis, ainsi que celle d’une autre carte, élaborée par le cartographe Orontius Fincus en 1531, a été confirmé aussi par l’explorateur polaire, le capitaine Finn Ronne, initialement guide de l’amiral Byrd et ultérieurement coordonnateur de l’expédition anglo-norvegiano-suedois eîn Antarctide.

      Les montagnes du continent sudique, noté sur ces cartes comme îles, se trouve, réellement, aux endroits indiqués et il y a des îles couvertes d’une couche continue de glace, qui les lient  au continent dans la zone Pays Reine Maud. Tout cela s’est constaté cependant à peine en 1949-1952, à l’aide des sondes séismiques.

      Un détail apparemment mineur, omis  à cette époque, était la note de Piri Reis conforme à laquelle dans la composition de sa carte il a utilisé des vieilles cartes du monde, "dessinées au temps de Alexandru, Le maître des deux cornes, qui montraient quarts non habités du monde ".

COMENTAIRE;

      L’affirmation ci-dessus, peut être on ne peut plus vraie confirmant indirectement par cette voie aussi l’existence réelle de la surface intérieure de la Terre.

      Il parait que certaines cartes ont été sauvées de la destruction générale des documents de l’antiquité et ont été ensuite utilisés par les marins arabes et  turcs, et plus tard également par les européens.

      La carte de  Mercator de 1538, représentant la peu connue cote de l’Amérique du Sud, était plus correcte que la carte de 1569, qu’il a dessiné après  que la cote occidentale a été mieux explorée. Un motif décisif pour le voyage du capitaine Cook à la recherche de l’Antarctide l’a constitué le fait même que celle-ci apparaissait sur plusieurs cartes, sa conclusion erroné sur l’inexistence du continent étant, bien sur, provoqué seulement par le fait qu’il n’a pas navigué suffisamment ver le sud.

      Le Professeur Charles Hapgood, archéologue, historien et cartographe, a développé un vaste programme de recherche pendant plus plusieurs années, ayant comme thème l’étude des cartes de navigation des antiquités, copié des originales anciennes.

      Après corrélations complètes des caractéristiques cartographiques avec les cartes modernes, il a résulté que les originales ne pouvaient pas être réalisées sans la connaissance des  méthodes qui n’ont été utilisées que juste après la période de Renaissance (le chronomètre, nécessaire pour déterminer la longitude, a été découvertes juste au tour de l’année 1780).

L’une des cartes étudiées par l’académicien français Philippe Buache (1737), copiée d’après une ancienne carte grecque, montre un cours d’eau qui traverse l’Antarctide et qui, en l’absence de la glace, divisera le continent du sud en deux, une séparation sur laquelle on n’a rien su jusqu’en 1959, l’Année International de la Géophysique.

A l’aide des plus modernes dispositifs de sondage de la glace, maintenant il est possible de démontrer que, si la glace manquait, l’Antarctide d’Est serait séparé par l’Antarctide d’Ouest tout au long des Montagnes Transantarctiques.

Quoique le continent Antarctide semble à une masse unique de glace, à présent on sait et on accepte, en base des déterminations faites à l’aide des appareils de mesure, qu’en fait, il s’agit de deux îles gigantesques.

Mais comment en savaient les réalisateurs des cartes originales consultées par Buache, des centaines ou peut être des milliers d’années avant de découvrir officiellement l’Antarctide ?

La section entre la carte planétaire Orance Finne, réalisée en 1532, qui présente le continent Antarctide, qui n’a pas été découvert jusqu’en 1818, décrit des rivières qui sont maintenant des glaciers.

La carte „Ibn ben Zara” de la Mer Méditéranée et Egée semble exacte du point de vue des côtes, mais montre, à côté des îles connues, quelques îles qui n’existent pas, précisément qui ne se trouvent plus sur le niveau de l’eau; celles-ci sont représentées comme elles étaient à la fin du dernier refroidessement, quand le niveau de l’eau à l’échelle planétaire était considérablement baissé.

Une autre incursion dans le passé lointain a lieu par l’intermède d’une carte turque du 1559, attribuée Hadji Ahmed, qui non seulement présente les côtes du ouest des deux Amériques, mais il semble qu’il montre un pont de terre entre Sibérie et Alaska – un indice en ce qui concerne le fait que la source de Hadji Ahmed retrouve son origine vers la fin de la dernière ère glacière, pour la satisfaction ultérieure des anthropologues américains qui soutiennent l’"origine asiatique".

      Une autre carte, dénomée „King ,Jaimes World Chart ", de 1502, une copie de de plusieurs autres plus vieilles, présente le desert du Sahara comme un territoire fertil avec de grands lacs, eaux coutanteset villes, tel que cela était autrefois,dans les temps tres lointains.

      D’autres cartes présentent des glaciers du temps de la derniere ère glacier, dont les traces sont encore  visibiles dans certaines parties de l’Europe, l’Angleterre et l’Irlande, et sur une autre carte le détroit de Behring n’est pas tracée, celui-ci étant traversé par un isthme, tel que cela existait avant.

      La caractéristique de ces cartes antiques recopiées consiste au fait qu’on trouve sur elles tracé avec exactité les  coordonées et la longitude, ce qui denote la possession des connaissance de géometrie spherique, ainsi que l’utilisation des instruments géodesiques de grande précision.

      C’est possible que les originales aient été dessinées il y a de cela 8.000-10.000 ans, donc très très longtemps avant les débuts officials de l’histoire.

      L’existence de certaines methodes cartografiques de grande precision presupose, d’autre part, et l’utiisation des dispositives mecaniques de haute finesse, capables de réaliser des mensurations geografiques et astronomiques avec une precision particulière.