(Tels qu'ils sont présentés ci-après toujours dans le livre "Le système occulte pour dominer le monde", par Os. Kuhlen – Edité par Saeculum I.O 2001)

      Selon certaines études géographiques, il existe quelques discordances entre les principales caractéristiques de la Terre. Ainsi, en partant de la superficie totale de la Terre, de 431,5 millions km², nous obtenons – si la Terre est considérée une sphère solide – un résultat pour le poids total beaucoup supérieur à son poids réel, d'environ 6 x 106 tonnes.

      La théorie de la Terre creuse part de la prémisse que, lorsqu'elle se trouvait à l'état fondu, au début de sa naissance comme planète, la force centrifuge a déterminé le déplacement vers l'extérieur des substances plus lourdes, à la périphérie, sous forme de roches et métaux, en formant la croûte extérieure, alors que l'intérieur est resté vide, avec des ouvertures aux pôles, en raison de la force centrifuge beaucoup plus faible.

      Selon les calculs faits, en raison de la rotation de la Terre autour de son axe pendant la période de constitution, les ouvertures polaires solidifiées devraient mesurer environ 2000 km en diamètre.

      Par ailleurs, une partie du feu originaire et des matériaux incandescents sont restés au centre de la Terre, en formant un Soleil beaucoup plus petit par rapport à l'astre du jour, mais capable d'émettre de la lumière et de favoriser le développement de la végétation. L'aurore boréale ou les lumières radiales qui illuminent le ciel arctique la nuit proviendraient de ce Soleil, dont les rayons brillent à travers l'ouverture polaire.

      COMMENTAIRES :

      Les affirmations ci-dessus, tel que je l'ai mentionné plutôt, ne peuvent malheureusement servir ni pour la littérature S.F., cet aspect représentant un véritable frein à la crédibilité, en faveur des personnes ayant soutenu et retenu correctement quelques aspects liés à la théorie de la Terre creuse.

      Les habitants et les voyageurs des régions arctiques ont parfois la chance d'observer les aurores polaires, des phénomènes d'une rare beauté. Selon la théorie officielle, ces phénomènes électro-optiques sont le résultat de l'interaction entre l'atmosphère et les particules portées par le vent solaire, qui sont déviées vers les pôles lorsqu'elles sont captées par le champ magnétique terrestre. On suppose que ces particules excitent, par collision, les molécules de l'atmosphère, qui, lors de leur désactivation, émettent une radiation en ultraviolet.

      Il s'agit, en fait, de l'ionisation des couches supérieures de l'atmosphère, sous l'influence des radiations ultraviolettes émises par le Soleil. La luminescence de ces phénomènes est diffuse, ayant la forme d'un arc de lumière d'où jaillissent des rayons, des bandes et des draperies d'un aspect féerique.

      Vues d'une hauteur de 100 à 400 km, parfois même à 1000 km, elles donnent un charme particulier aux nuits polaires.

     COMMENTAIRES :

     Mon opinion et que ces considérations sont complètement erronées et nuisibles, car elles sont le résultat de l'idée erronée adoptée jusqu'à présent, qui laissait croire et continue à le faire d'une manière particulièrement fausse, que la Terre est un corps sphérique plein.

      Alors, comment les aurores polaires similaires, détectées sur Jupiter, peuvent-elles être expliquées ? La planète possède un champ magnétique, mais le géant du système solaire est trop éloigné du Soleil pour que le vent solaire puisse donner naissance à des aurores.

      L'idée que les pôles magnétiques ne coïncident pas avec les pôles géographiques, tel que les choses devraient se passer si la Terre était une sphère solide, est généralement acceptée. Un possible motif pour lequel les pôles ne coïncident pas est que le pôle magnétique se trouve tout au long du bord de l'ouverture polaire, alors que celui géographique se trouve au centre même de cette dernière, en l'air et non sur la Terre solide.

      Marshall Gardner affirme que le bord de l'ouverture polaire est un cercle dont le diamètre est de 2000 km.

      Le point focal, "la pointe de l'aiguille" du pôle magnétique existe, à un moment donné, uniquement sur une portion de la circonférence de ce cercle et se déplace progressivement autour du cercle, sur une orbite bien définie, qui se répète de manière cyclique, à un intervalle d'environ 235 ans, ce qui correspond à un déplacement de 26,64 km par an. Les données correspondent aux calculs faits en utilisant les mesures effectuées dans une période similaire de temps.

      Conformément à la théorie de la Terre creuse, l'attraction gravitationnelle est maximale au long de la courbe qui va de l'extérieur à l'intérieur de la Terre. Là-bas, un homme dont le poids est de 68 kg pèse 136 kg, lorsqu'il navigue à travers l'ouverture polaire et au long de la courbe allant de l'extérieur vers l'intérieur de la Terre, et lorsqu'il arrive à l'intérieur il pèse uniquement 34 kg, en raison de l'action de la force centrifuge.

     COMMENTAIRE

      J'ai montré plus haut pourquoi les choses ne se passent pas ainsi, donc jusqu'à la preuve contraire je considère que ceux qui ont fait ces calculs n'ont pas pris en considération ni les grandes agglomérations de matière comme des centres de masse distincts, ni les effets de marée exercés par l'attraction venant de la partie opposée à l'ouverture polaire en question, états de choses et de fait qui font que la force d'attraction est à-peu-près constante dans n'importe quel point.

      William Reed affirme que l'attraction gravitationnelle a la valeur la plus grande au milieu de la courbe allant de l'extérieur à l'intérieur de la Terre, là où se trouve le centre de gravitation et elle est tellement forte, que l'eau salée et l'eau douce des icebergs ne se mélangent pas : l'eau salée reste à quelques mètres sous le niveau de l'eau douce.

      Ainsi, il est possible de boire de l'eau douce dans l'Océan Arctique, provenant des rivières qui jaillissent de l'intérieur plus chaud de la Terre et qui, après qu'elles arrivent dans la zone froide de la surface, gèlent brusquement et se transforment en icebergs, qui s'éclatent ensuite et tombent dans la mer, en générant les étranges marées observées par les explorateurs arctiques au Nord éloigné, auxquelles ces derniers n'ont pu trouver une explication raisonnable.

      Par ailleurs, des mammouths et d'autres animaux tropicaux ont été trouvés en état parfait de conservation à l'intérieur des icebergs, alors qu'on croyait qu'ils ont une origine préhistorique, car ils n'ont jamais été vus sur la surface de la Terre.

      Quelques animaux ont été surpris avec de la végétation dans la bouche et dans l'estomac lors du gel. L'explication la plus fréquente qu'on donne à ce genre de découvertes précise qu'il s'agit d'animaux préhistoriques qui vivaient dans la région arctique quand elle avait un climat tropical et que l'apparition de l'ère glaciaire a brusquement transformé l'Arctique dans une zone froide, d'une zone tropicale qu'elle était, en gelant les animaux avant qu'ils aient le temps de se réfugier dans des régions plus chaudes.

      Les grands dépôts d'ivoire d'éléphant, composés des ossements et des ivoires de millions de mammouths et mastodontes, découverts en Sibérie et dans les îles nordiques, sont expliqués de la même manière.

      En étudiant le comportement de plusieurs animaux, tels que l'aurochs, l'ours et le renard, on a remarqué qu'ils migraient en hiver, bizarrement, vers le Nord, ce qu'ils devraient faire uniquement s'ils trouvaient là-bas un territoire plus chaud.

      De plus, des variétés inconnues de fleurs ont été découvertes dans le Nord extrême, et des oiseaux qui ressemblaient aux bécasses, mais qui ne se retrouvaient dans aucune espèce d'oiseaux connue, ont été vus venant du nord et y retournant.

      Des lièvres existent en abondance dans une zone du Nord éloigné, où aucune végétation ne pousse, mais où se trouvent, en revanche, des matières végétales dans les débris qui flottent en dérive, en venant des zones plus nordiques, avec des eaux sans glaces.

      Les tribus d'eskimos ont laissé dans leurs demeures provisoires des traces incontournables de leur migration vers le nord, alors que les eskimos du sud parlent toujours des tribus qui vivent dans le nord éloigne. Ils ont la conviction que leurs ancêtres sont venus d'un pays paradisiaque, se trouvant dans le Nord extrême.

      Hormis les arguments d'ordre cosmique et biologique présentés ci-dessus, d'autres aspects, qui ont été observés par la plupart des expéditions faites dans les régions polaires, peuvent être énumérés pour soutenir la théorie de la Terre creuse.

      Les aspects mentionnés en détail par Raymond Bernard dans son ouvrage "Un monde dissimulé" peuvent être résumés ainsi :

      L'absence prolongée de la lumière solaire pendant les longs hivers polaires : au Nord éloigné, le Soleil s'absente pour des longs intervalles, ce qui ne se produirait pas si la Terre était solide et ronde ou seulement un peu aplatie aux pôles.

      Le fonctionnement anormal de la boussole : a été observé par tous les explorateurs qui sont arrivés très loin au Nord.

      L'étrange fonctionnement de la boussole correspond à ce qui pourrait se passer si la Terre était creuse et les explorateurs rentraient dans l'ouverture polaire.

      Le passage étrange au-delà du bord de l'ouverture polaire : lorsque les explorateurs sont rentrés accidentellement à l'intérieur, ils ont rencontré des conditions environnementales très différentes, qu'ils n'ont pas su comment les interpréter et, par conséquent, il n'est pas surprenant qu'ils ont utilisé l'expression "un territoire étrange".

      Cependant, ceux qui ont passé un temps considérable dans la zone arctique ou antarctique ont été confrontés à des phénomènes inexplicables par la théorie selon laquelle la Terre est solide et ronde, mais qui peuvent être facilement expliqués par la théorie de la Terre creuse avec des ouvertures aux pôles.

      Des roches dans les icebergs. La neige colorée. Du pollen et de la poussière au  Nord éloigné : si ce qui colore la neige est une matière végétale, provenant probablement des fleurs ou du pollen d'une plante, puisque dans la proximité de l'Océan Arctique ne pousse rien de ce genre, cela doit signifier alors que cela pousse à l'intérieur de la Terre.

      Une situation similaire est celle de la poussière, qui tombe sur la neige et la noircit.

      L'eau non gelée au point du Nord le plus éloigné : contrairement à l'opinion générale, selon laquelle l'Océan Arctique est une immense masse d'eau gelée, ce dernier n'est pas gelé du tout, même s'il contient toujours de gros blocs de glace en dérive et des icebergs.

      Pourquoi fait-il plus chaud tout près des pôles ?

      Où et comment les icebergs se forment-ils ? Parce que les icebergs sont formés d'eau douce et non de l'eau salée de l'océan, ils ne peuvent prendre naissance dans l'Océan Arctique, mais d'une masse d'eau douce.

      La théorie de Reed montre que les icebergs prennent naissance dans les rivières qui viennent de l'intérieur de la Terre et coulent vers la surface, par l'ouverture polaire.

      Les marées : elles soulèvent la glace des grandes étendues blanches jusqu'à des hauteurs significatives et peuvent être entendues sur une distance de quelques miles, avant de toucher les navires et passer au-delà. Le ciel dans la zone arctique et antarctique reflète avec exactitude la surface de la Terre, de l'eau et de la glace. La pratique des marins nous apprend qu'il ne faut pas partir dans un grand voyage sans consulter d'abord le ciel d'eau.