Conformément à l'ouvrage du Dr Raymond Bernard, "Un monde dissimulé", la théorie de la Terre creuse a été confirmée tant par l'expédition arctique (1947), que par celle antarctique (janvier 1956), menées par le contre-amiral Richard Evelyn Byrd, lorsqu'il a pénétré dans la concavité intérieure de la Terre à des distances de 2700 km au Pôle Nord et de 3700 km au Pôle Sud, où il a survolé un territoire sans glace, avec des montagnes, forêts, végétation, lacs et rivières, qui ne se retrouvait sur aucune carte.

      La vraie signification des grandes découvertes de l'amiral Byrd a été passée sous silence, sans lui prêter aucune attention jusqu'à ce que Giannini et Palmer n'ont pas rendu public le sujet.

      Voilà quelques déclarations du contre-amiral Richard E. Byrd : "J'aimerais voir cette terre au-delà du Pôle Nord. Cette région au-delà du pôle est le centre du Grand Inconnu ! ..." (février 1947)

      "Le 13 janvier, les membres de l'expédition des Etats-Unis sont rentrés 2300 miles dans un territoire d'au-delà du Pôle Sud. Le vol a été réalisé par le contre-amiral George Dufek, de l'Unité d'Aviation de la Marine des Etats-Unis, qui a décollé de la base de McMurdo Sound, sise à 400 miles à l'ouest du pôle." (13 janvier 1956)

      "L'expédition actuelle a inauguré une nouvelle et vaste étendue de terre." (13 mars 1956). "Ce continent merveilleux dans le ciel, la Terre du Mystère sans fin !" (1957)

      En parlant du maintien d'une discrétion absolue sur les missions exploratoires des expéditions réalisées par la Marine américaine, sous la commande du contre-amiral Byrd, Raymond Bernard montrait que : "La découverte de l'amiral Byrd représente aujourd'hui un secret international de premier rang."

      Après que Byrd a annoncé la découverte par la radio de l'avion et après une courte note parue dans la presse, toutes les autres informations ultérieures liées à ce sujet ont été soigneusement écartées par les agences gouvernementales.

      Le premier livre dédié à ce sujet, "Les mondes au-delà des Pôles", a été écrit par F. Amadeo Giannini, en 1959, mais pour des raisons inconnues l'ouvrage n'a pas bénéficié de publicité :

      "Les extrémités du nord et du sud de la Terre n'ont pas une limite physique : sur la Terre il n'est pas possible de naviguer tout autour par le Nord et par le Sud. Cependant, quelques vols « autour du monde » ont alimenté la populaire conception erronée selon laquelle on a fait le contour de la Terre par le Nord et par le Sud."

      A compter du 12 décembre 1929, les expéditions polaires de la Marine des Etats-Unis ont démontré l'existence d'une étendue de terre non déterminable, au-delà du présumé Pôle Sud de la Terre.

      "Ce vol a eu lieu au-dessus de la terre, des eaux et des glaces. Pour des raisons très sérieuses, le mémorable vol n'a pratiquement pas été mentionné dans la presse. Les     Etats-Unis et encore plus de 30 nations ont préparé des expéditions polaires sans précédent, en 1957-1958, afin de rentrer dans les régions dont l'existence était déjà prouvée, se trouvant au-delà des deux pôles."

      Au cours de la même année, Ray Palmer, le rédacteur en chef de la revue Flying Saucers, a fait la liaison avec une possible origine des OVNI et a fourni des détails dans sa revue de grand tirage, mais quelques événements étranges ont relevé la présence de forces qui essayaient de contrôler les informations rendues publiques.

      Ainsi, tous les exemplaires du numéro de décembre 1959 ont été détruits, y compris les épreuves qui ont servi de base pour leur élaboration ; les revues ont été envoyées aux abonnés en retard, après leur réimpression, sans qu'il existe la certitude que les informations n'ont pas été censurées.

      Voilà ce que Palmer écrit dans l'article dédié à la découverte de Byrd :

      "Nombreux de nos lecteurs ont affirmé que les vols commerciaux passent tout le temps au-dessus du pôle, en arrivant de l'autre côté de la Terre. Cela n'est pas vrai et même si la direction générale des Lignes Aériennes elle-même disait que c'est vrai, il n'en est pas.

      Ils font des manœuvres de navigation qui éliminent automatiquement le vol en ligne droite au-dessus du pôle, dans n'importe quel sens, car l'orientation avec la boussole n'est plus possible dans ce point.

      Demandez les pilotes de ces vols polaires et ensuite nommez au moins un vol transpolaire pour lequel vous pouvez acheter votre ticket, un vol qui traverse effectivement le pôle."

      L'affirmation de Palmer, selon laquelle les vols ne passent pas au-dessus du pôle, semble raisonnable suite à la découverte, par les Russes, du fait que le Pôle Nord Magnétique n'est pas un point, mais une ligne d'environ 1500 km, qui traverse le bassin polaire jusqu'à la presqu'île Taimir de Sibérie.

      Conformément à la théorie de la Terre creuse, il représente le bord d'une concavité polaire et tout point se trouvant sur ce cercle peut être nommé Pôle Nord Magnétique, car à cet endroit l'aiguille de la boussole montre vers le bas et, par conséquent, lorsque les pilotes pensent être arrivés au Pôle Nord, ils touchent en réalité le bord de la concavité polaire.

COMMENTAIRES :

      A mon avis, il est absolument impossible qu'un avion normal, qui est capable de voler uniquement à travers l'atmosphère, puisse parcourir en ligne droite l'ouverture des pôles, car cela signifiait qu'il sort au fur et à mesure de l'atmosphère terrestre et se déplace environ 2000 km à travers le cosmos, sans la possibilité de préciser sa position exacte (la boussole ne fonctionne plus, la position réelle du Soleil devient déroutante en raison du phénomène naturel qui courbe la lumière, sous l'effet de l'influence significative du champ magnétique naturel), ce qui est – de manière très nette et pratique – impossible.

      Sans réussir à justifier l'étrange comportement de la boussole dans le bassin polaire, les adeptes de la théorie officielle ont fait appel à l'interaction du champ magnétique avec les particules chargées du point de vue électrique, provenant du Soleil.

      En essayant d'apporter de nouveaux arguments pour soutenir sa théorie, Palmer fait une connexion surprenante, lorsqu'il écrit :

      "La légende scandinave d'une terre paradisiaque du Nord éloigné, nommée La dernière Thulé, confondue souvent avec le Groenland, est significative lorsqu'elle est étudiée en détail, en raison de la remarquable ressemblance avec le type de territoire vu par Byrd et en raison de son emplacement au nord très éloigné.

      Cependant, supposer que la Dernière Thule est le Groenland signifie se retrouver devant une contradiction : l'existence de la calotte glaciaire du Groenland, qui remplit tout le bassin du Groenland jusqu'à des profondeurs de 3200 mètres."

      Une étude plus récente sur les phénomènes de la zone des pôles, réalisée par le Dr Valentine, zoologue, archéologue et océanographe qui a longtemps étudié  la théorie des mondes parallèles, fait une distinction nette entre les preuves relatives à la théorie de la terre creuse et la possibilité de pénétrer dans différents espaces parallèles de la Terre, en affirmant que :

      "L'amiral Richard Byrd, un renommé explorateur et pilote qui a volé au-delà des champs magnétiques intenses des deux pôles, a fait en 1929 une communication radio incroyable, lorsqu'il survolait le Pôle Sud.

      Il a affirmé qu'il a traversé un brouillard lumineux et il est rentré dans une zone verte, avec des lacs sans glace et qu'il a vu des animaux, dont certains ressemblaient à des bisons, ainsi que des hommes ayant un aspect primitif.

      La transmission radio a été brusquement interrompue et les propos de l'amiral Byrd ont été interprétés dans le contexte de l'épuisement nerveux et des hallucinations.

      Aucune publicité n'a été faite sur l'exploit de l'amiral, mais l'étrange transmission a lésé sa réputation dans les cercles scientifiques.

      Il est pourtant étrange que des personnes allant souvent au cinéma dans les années '20 affirment qu'elles ont vu sur l'écran des films avec les explorations réalisées par Byrd et, dans ce cadre, elles ont vu la terre au-delà des pôles, donc il n'est pas exclu que ces cinéphiles, influencés par ce qu'ils avaient lu sur l'incident en question, confondent ce qu'ils ont vu sur la pellicule avec le voyage de l'amiral Byrd.

      L'incident en question est rentré dans la sphère de la légende et personne ne le mentionné encore, sauf les adeptes de "la terre creuse à l'intérieur", qui supposent que l'amiral a volé par un trou dans le vide de l'intérieur de la Terre et non dans une autre dimension, tel qu'il a été suggéré dans le cas des disparitions dans le Triangle.

      En tout cas, il existe une grande similitude entre les champs de force magnétique, tels qu'ils ont été créés dans l' "Expérience Philadelphie" et les conditions rencontrées au-delà des pôles, tout en partant de la prémisse que l'amiral a traversé le pôle et qu'il disposait de la totalité de ses facultés mentales."

      Une autre confirmation de l'existence des territoires inconnus au-delà du cercle polaire a été faite par le lieut. David Bunger, qui a découvert, toujours en 1947, en Antarctide, des oasis avec eaux chaudes.

      Bunger pilotait l'un des 6 grands avions de transport, qui ont été utilisés par l'amiral Byrd dans le cadre de l'opération Highjump de la Marine des Etats-Unis, en 1946-1947, lors d'un vol qui menait vers l'intérieur du continent.

      En partant de la calotte glaciaire Shackleton, qui se trouve près de la Côte Queen Mary, du pays de Wilkes, à une distance d'environ 6 km du bord de l'océan il a découvert une terre sans glaces, avec des lacs de différentes couleurs, allant du rouge roux et vert jusqu'au bleu foncé. Chaque lac avait une longueur de plus de 4, 5 km et une superficie d'environ 444 km² et l'existence de l'eau chaude n'était pas due à l'activité volcanique.

      En 1960, un journal de Toronto/ Canada, "The Globe and Mail", a publié une photo d'une vallée verte, prise par un aviateur dans la région arctique.

      COMMENTAIRES :

      Ces preuves et états de choses attestent quelque part mes propos précédents, au sens que le poids ou plutôt la force d'attraction gravitationnelle a partout (tant sur la surface extérieure que sur la surface intérieure de la Terre) une valeur à-peu-près égale (insaisissable par un observateur) et elle est dirigée en permanence vers l'agglomération de matière la plus proche, qui a évidemment en même temps la densité la plus élevée, comme un centre de gravité de l'agglomération en question.